Vers quel joli destin,
Lorsqu'avec ma voisine,
D"une humeur assassine,
Vers Pirou, par le train,
Nous voguions le matin.
Nous aimions la cantine,
pour manger des sardines,
Qui sentaient bon le thym.
Et nous dansions, badines,
En disant des comptines,
Tout au long des chemins.
Mais, voilà qu'il crachine,
Rimons les nuits câlines,
Où Pirou dort enfin.
Eve
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